Tous les prétextes sont bons pour acheter des baskets

Aïe. Amis mous du genou, aidez-moi. Le 12 octobre 2008, un événement carrément sympa : on se retrouve pour un parcours touristique des belles rues de Paris (cool), ambiance « aux couleurs des Antilles ». Le problème ? On fait le parcours en courant, c’est un Marathon… Pas n’importe lequel : le fameux 20 kilomètre de Paris.

Est-ce que je vais dépasser mes traumatismes d’enfant (les Marathons de l’école….) pour participer à ce méga-événement (et pour une fois, une sortie à Paris qui soit bonne pour ma santé) ? Les meilleurs et les meilleures ont fait le parcours en moins d’une heure. Moi, je serais plutôt à courir gentiment aux côtés d’une petite mamie (tous les âges sont représentés, et aussi participent des personnes à mobilité réduite en char : ce évènement, c’est aussi une fête de l’ouverture à l’autre !)

Ce que je peux faire, c’est acheter des nouvelles baskets. Que je choisisse de jouer les supporter ou de participer à la compét’, je pourrais toujours les étrenner ce jour-là. Et ça, ça me met de très bonne humeur : comme quoi, le sport c’est bon pour le cerveau.