Chaussures Skechers à prix réduit

En ces temps… diff… d’économies, on vous a promis qu’on serait à l’affût des bons plans, notamment pour les indispensables. Les sneakers Sketchers en font partie, à mon avis, tant du côté confort que du côté « basiques tendances » (même cette niaiseuse trash de Britney Spears, qu’on a vue jouer les égéries de la marque, n’a pas altéré l’aura « underground cool » de Sketchers).
Donc, c’est presque un devoir de veille de notre part (oui, j’exagère ! 🙂 ) que de signaler cette promotion de chaussures Skecher chez Shoes.fr : sur chaque modèle, vous gagnez en général dans les 25 ou 30 euros – j’ai pas vérifié basket par basket non plus. Exemples :
  • les Skechers majors : en cuir brun, un peu old school, belles, simples, jazzy, sont à moins trente pour cent, soit 60  euros au lieu de 85 euros.
  • Pour leur petit air de cocon rose, on craque aussi pour les Skechers Oaths roses, à 35 euros au lieu de 50.
Pas de quoi criser avec ça !

 

 

Eram Hommes : tendance rétro dans vos magasins de chaussures

Dans le thème « retro« , certains casent un peu tout et n’importe quoi. Or, ce qui fait toute l’élégance de ce style, c’est la maîtrise : références choisies, époques pointues… vous suivez la mode « rétro », mais au lieu de vous être précipité dans les magasins de chaussures, vous vous êtes rencardée sur la question. Nathalie, de chez Eram, a eu la gentillesse de nous en dire plus sur ce que Eram femme et homme propose cette saison : rétro, oui mais c’est à dire ?

Pour mon homme, il y a les « chaussures » normales, celles qu’il porte sans se poser (trop) de questions. Et… c’est tout. Quand je lui parle de chaussures rétro chez Eram, il ne visualise rien : et le dandysme, tu connais pas ?

Voici ce que Nathalie a expliqué à la rédaction de La Chaussures et les femmes : « Ce thème très féminin s’inspire de la mode du 18ème siècle. La sélection Eram regroupe des modèles pour la femme et pour l’homme à bout fleuri, vernis pour donner un look endimanché à la chaussure (…) Pour la femme, Eram a choisi des bottines et boots sur talon, vernis, habillées de boutons ainsi qu’une sélection d’escarpins à bout fleuri, bicolores. Pour l’homme, Eram propose des modèles plus classiques avec des finitions type bout fleuri qui apportent à la silhouette une touche d’originalité. »

Bon, ce que je retiens c’est qu’Eram femmes me permet de me donner un  look à la fois romantique et trendy, parfait au travail (potentiel d’image « sérieuse »), et parfait pour minauder devant la machine à café (très séducteur). Et d’une. Et de deux, les magasins de chaussures ne sont pas tous sexistes : oui les hommes peuvent être coquets, oui ils peuvent nous séduire, à l’ancienne, avec des chaussures fines et précieuses : richelieues vernies, étudiées, dentelées… mâtineront les blousons en cuir de nos hommes d’une touche de raffinement longtemps attendue.

T’as gagné, Nathalie : je vais faire un tour chez Eram femmes à ma pause déjeuner, et le week-end suivant je traînerai mon homme chez Eram hommes ! Le plus élégant des deux a droit à quoi comme cadeau ?

PS : en fait, je ne vais pas me déplacer, il y a une boutique en ligne. Qui disent merci aux boutiques Eram ? Les paresseuses.

 

 

Rautureau Apple Shoes : Chaussures Pom d’Api, Jean-Baptiste Rautureau, Schmoove, Sping Court, Free Lance et No Name

Je vais vous lancer une de ces vannes donc vous pensiez que votre-belle mère avait le secret « je parierais que vous ne connaissez pas Rautureau Apple shoes. Vous connaissez pas ? Non ? C’est étonnant, et je dirais même, vous avez tort, ils sont super. Pour une modeuse comme vous, ça m’étonne vraiment beaucoup ». Oui, mais encore ? C’est quoi le buzz ? Allez, on vous explique : entrez dans les arcanes de la mode.

Il faut avouer que je ne connaissais pas non plus Rautureau Apple Shoes, et c’est une lacune, puisque c’est le nom officiel de l’entreprise familiale qui chapeaute 6 marques connues de chaussures : Pom d’Api pour les bébés, No Name pour les filles, Schmoove pour les gars, Free Lance pour les femmes, Jean-Baptiste Rautureau pour les hommes, auxquelles est venue se greffer la licence Spring Cout.

Pour clouer le bac à belle-maman chériiiie, voici ce que vous lui direz d’un ton dégagé après avoir lu un excellent article de Novo Press : ah, mais oui je connais. Je suis particulièrement favorable à cette entreprise de  terroir qui continue à fabriquer son haut de gamme en Vendée, à La Gaubretière, créant un bassin d’emploi dont on ne peut que se féliciter.

D’ailleurs, belle-maman devrait nous offrir des vacances avec notre chéri dans le village de La Gaubretière, on lui ramènerait une paire de chaussures Free Lance, elle qui se targue d’être plus fashion que nous. Et puis, voyant comme notre chéri aime son frère, on est attendrie de voir comme les frères Guy et Yvon Rautureau travaillent main dans la main par l’entreprise créée dans la famille en 1870, c’est pas attendrissant ? En plus, en tant que modeuse sensée,on apprécie une ligne politique assez courageuse et futée pour ne pas suivre la mode pas la mode comme des moutons : comme le disait le directeur commercial,  » si on suit les modes, on fait comme tout le monde. Il faut prendre des paris, étonner, surprendre… Notre travail, c’est d’anticiper : les gens ne savent pas ce qu’ils aimeront l’an prochain et pourtant, on le fabrique déjà dans nos ateliers ! »

Pour achever belle-maman, on lui dit où elle va pouvoir trouver toute la gamme des marques proposées (qu’elle n’oublie pas, c’est bientôt Noël…) : chez Sarenza, qui propose No Name, Pom d’Api, et Free Lance. Parfait en ce qui nous concerne, nous et la petite Chloe, sa petite-fille chérie. N’est-ce pas belle-maman ?

Québec : ne dites pas Baskets, mais Espadrilles de Sport

« Bonjour, où est le Musée ?  » « Ah c’est le fun là-bas ! Vous autres l’avez-vous déjà visité ? » Il est après la 4ème lumière ! Est-ce que vous catchez ? , » Heu oui. Merci beaucoup. » « Bienvenue ! Bonjour ». Quand, en tant que français, on fait du tourisme au Québec, on se dit que c’est facile, vu que c’est francophone. Sauf que certains mots ne sont pas les mêmes qu’en France : ainsi, si on demandez des espadrilles, on vous donnera des chaussures de sport, pas les chaussures en semelle de corde de Gaston Lagaffe. Quelques conseils, histoire d’avoir l’air malin quand vous faites du shopping…
Bon, au niveau des noms de chaussures, c’est surtout du côté des sneakers qu’il y a risque de qui pro quo : chouclaques, espadrilles, cliques, snkis : tous ces mots désignent familièrement des runnings. En fait, les québécois, qui sont souvent assez sportifs, sont plus précis que les français : les espadrilles désignent les chaussures de toile (type Converse) destinées plus au confort qu’au sport ; et les chaussures de sport sont nommés selon leur usage : souliers de course (runnings), de danse, de tennis, de quilles, de randonnée, etc.
Si vous dites que vous portez des espadrilles devant la piscine, vous surprendrez ! Si on vous dit que votre choix est « quétaine », traduisez que c’est ringard ; si vous hésitez à les acheter et qu’on vous « envoie-donc ! » (fais le !) c’est qu’elles vous vont bien. Parfois on a de la misère à trouver de bonnes chaussure, ce qui fait que, dans le fond, si vous avez bien foin foin (de l’argent), vous en prendrez deux paires, n’est-ce pas ?


Achat de chaussures : la crise rend-elle la mode futile ?

Alors qu’on ne sait même plus si on pourra souscrire un crédit pour acheter un appartement, on pense beaucoup moins séduction et stilletto. On voit moins pourquoi on aurait tant besoin de low boots ou de cuissardes en agneau glacé. En même temps, si on se transforme en fille perdue-cheveux gras-chaussures éculées, on se demande si on aura l’esprit de combat nécessaire pour vaincre l’adversité. La mode, remède anti-crise, ou folie de fille futile ?

 

  • Trois arguments pour attendre que l’orge passe :
  • Si comme moi vous lisez la presse régulièrement, vous êtes en train de virer dépressif. Tout achat de chaussure, qu’il y a quelques mois vous auriez catégorisé « banal », vous parait un achat compuslif, symptôme d’un début de démence maniaque. Du coup, vous restez chez vous.
  • Vous attendez Noël : crise ou pas crise, vous savez que Maman ou votre frère chéri, ou votre chéri d’amour… quelqu’un va se dévouer pour vous les offrir, ces super bottes à paillettes argent No Collection qui vous font envie. A 110 euros au lieu de 325, ils vous font un beau cadeau pour trois fois moins cher (Brandalley).
  • Vous économisez pour les soldes de Janvier. Spéculatrice va !

 

 

  • Trois arguments pour se faire plaisir quand même :
  • La récession, c’est pas vous qui l’alimenterez. Pas que vous soyez si solidaires vis à vis des industries, en fait vous pensez à vous. Vous faites un peu plus gaffe à votre budget, mais vous continuez de vivre : après tout, la crise était là avant que la presse en fasse ses titres de premières pages : question de regard. Prudente, pas maso, vous êtes à l’affût des bons plans (et vous lisez régulièrement notre blog). D’autant qu’à la rédaction, on peut vous dire que les commerçants ne sont pas fous : en ce moment, c’est la course aux belles ristournes, aux promotions… autant en profiter un peu.
  • Vous doutez que notre société consumériste chance radicalement de ton : dans la rue, les jolies filles continuent d’être bien habillées et chaussées avec goût. Vous prendrez soin de vos chaussures pour qu’elles durent plus longtemps, c’est tout.
  • L’habit ne fait pas le moine… mais dans n’importe quel métier où vous ne restez pas enfermée chez vous, votre image a un impact – et en général, si vous êtes chic, vous renvoyez une image de succès personnel favorable à vos affaires. Or, la façon la plus économique (au sens financier et au sens économie d’énergie) d’être élégante, ce sont les chaussures et les sacs à mains : quelques accessoires griffés (vous alternez de temps en temps) vous démarquent, même avec des habits passe-partout (alors que l’inverse est plus douteux).
Et vous, c’est quoi votre stratégie de modeuse ,face à la crise ? Parlez-en sur nos forums !

 

Chaussures Femmes grandes tailles : infos, photos et promos

Chez la Chaussure et les Femmes, on n’est pas monomaniaques : en sus de votre magasine on line préféré sur les chaussures, vous pouvez faire un petit tour sur La lingerie, le Slip et le Caleçon, Fashion Fox et Ma Grande Taille. Ce dernier site, spécialisé dans les « bons plans hors format », passe en revue la mode femmes grandes tailles – notamment, les chaussures grandes pointures. Petite présentation de notre cousine.

 Le spécial chaussures vous présente, sur un ton fun et élégant, les meilleurs plans de nos partenaires, des scoops sur les bonnes affaires, des conseils pour bien vivre votre grande pointure (côté mode et côté confort), et décortique le meilleur et le pire des chaussures grande taille. Vous connaîtrez les trois tendances chaussures femmes grandes tailles de la saison, saurez où acheter des bottes classy taille 45, où trouver les meilleurs rabais sans perdre de temps… Vous saurez tout des nouvelles boutiques, et serrées informées des adresses pour trouver des chaussures à votre taille, que ce soit des petites marques pas chères, des petits créateurs, ou des grosses pointures comme Chloe, Repetto ou Yoox. Bref, délaissez-nous de temps en temps pour une petite visite à nos collègues 😉

 

Remède anti-crise : rêver devant des chaussures de fête

On peut croiser les bras en attendant que la crise passe, les lever au ciel d’un air dramatique… La crise est installée. Un anti-crise ? Anti-crise économique  : lire Le Monde économique de mardi dernier (assez ch***).  Anti-crise de nerf ? Pensez à vos chaussures de fête.

Anti-crise oblige; les tenues de princesse devraient être à la mode pour les fêtes de cette année : question de besoin de rêver. Alors, soit pour trouver de l’inspiration, soit parce que vous ne vous offrirez qu’une seule paire de très belles chaussures cette fois-ci… faites-vous une bulle de luxe, de beauté, de joie.

On s’attendrait à ce que les designers dépriment et nous proposent des souliers comme à l’armée, et que leur créativité s’étiole en cette période de crise. Mais, à leur façon, ils luttent, et il sera difficile de ne pas se laisser tenter par les superbes chaussures de fête de cette année.

Les talons seront assez vertigineux, les matières scintillantes ou glossy, et le style, résolument glamour, voir minaudeur, voir accrocheur : des chaussures de fêtes visiblement brillantes, luxueuses, hors du commun cette année. Effet anti-crise garanti à chaque regard, quand vous ouvrez votre placard. Par exemple chez Sarenza:  avec les escarpins talon aiguille de Alexandre Gaspard Yurkievich, les Hush Puppies en cuir velouté rouge ornées d’une fleur, ou les romantiques Winship violettes, délicatement découpées, pour une féminité de rêve. C’est sûr, votre homme et vous aurez des pensées totalement anti-crise, dans tous les sens du terme, ce soir-là.

Chaussures en ligne : de Spartoo ou Sarenza, qui a la plus grande ?

Le pays des chaussures en ligne est en fait un royaume, que se disputent, principalement, deux géants : Sarenza et Spartoo. Incontournables pour shopper les marques les plus courues, ces deux enseignes se disputent la popularité sur google et dans les blogs de modeuses. Si on fait le bilan objectif, qui gagne le match ?

  • Nombre de marques. D’après les intéressés, c’est Sarenza qui en a le plus, ce dont se justifie son concurrent : « En complément, Spartoo a fait le choix d’être sélectif et de limiter le nombre de marques. »
  • Nombre de chaussures en ligne ? 4 800 chez Sarenza, 5 000 chez Spartoo (mais dans les chiffres Spartoo, il y a aussi des chaussettes et des vêtements…) Comme dans la cour de récré, on est sur des petites différences.
  • Plus grandes tailles vendues : chez Sarenza, jusqu’au 44 femme, et au 50 homme. Chez Spartoo, on prévoit jusqu’au 50 chez les femmes (mais à cette taille, ils n’ont que des charentaises femme)…
  • Plus grand choix de Birkenstock : Spartoo. OK, certaines me diront que ça ne milite pas en leur faveur.
  • Plus grand choix de Kickers : Sarenza. Et toc !
  • Distributeur sur internet officiel de marques comme Bloch, No Brand et Diesel : Spartoo; Ca s’appelle être fashion, ou, dans leur langage marketing des chaussures en ligne, quelque chose du genre « avoir une cible cliente urbaine et jeune ».
  • Plus de visiteurs sur le site (d’après Google Trends – graphique -, qui n’a aucun intérêt à l’affaire) : Spartoo.
  • Marque la plus recherchée : Sarenza (là encore, d’après Google Trends, voir le graphique ci-après).

  • Alors, match nul ? A vous de trancher, selon vos sensibilités !

Crédit photo : le blog Profs en campagne.

Chaussures de luxe françaises : le feuilleton Charles Jourdan continue

On monte, on redescend à toute vitesse; on tombe, on se relève… on se déshabille, on se rhabille… ce n’est pas la description des sports d’hiver; mais une image du feuilleton Charles Jourdan. Beaucoup d’entre nous aimons ces chaussures hautes coutures, mais saviez-vous que c’est un tribunal de commerce qui lundi dernier était chargé de décider de l’avenir de la marque ? Retour sur une saga digne des pires malheurs des héros balzaciens…

Le 6 mars dernier, Ségolène Royal se réjouissait pour les salariés de la reprise de l’usine dans la Drôme. Suite à une situation de faillite, suivie d’une décision du Tribunal de Commerce, le groupe Finzurich (Costa Rica) avait racheté les fonds pour reprendre les choses en main. Le groupe reprenait 130 salariés et prévoyait l’investissement colossal de 15 millions d’euros. Las… en juillet, le repreneur est assigné pour le 6 octobre pour « pour non réalisation de paiements ». Mauvais karma de l’entreprise ? Entre-temps, le groupe éponge sa dette… mais partiellement. Le 6 octobre, le repreneur, assigné en justice, se prend une gifle : la reprise est considérée comme « caduque »… mais le groupe tient à ses investissements, et a fait appel : le jugement a eu lieu lundi dernier, on attend la suite.

Moi, j’adore cette marque. Et je n’y connais rien à la Bourse B majuscule. Mais s’accrocher à des actions d’un fonds de commerce en plein dégringolade, c’est pas un peu trop tragique ? Est-ce qu’on pourra encore se chausser en Charles Jourdan, comme nos mères, dans quelques mois ou années ? Et, bien plus fondamentalement, que vont devenir les salariés de la Drôme ?


Infos et crédit photo : fashionmag.com

Louboutin femmes

Louboutin, c’est un style, c’est un personnage.
Un style d’abord, que Florence Julienne de Sourdis, dans un excellent article suivi d’une interview (Luxe Magasine), a décrit avec brio : l’élégance de la femme fatale, qui mâtinerait son sex-appeal de douceur (matières, couleurs…). Le luxe brouille toutes les cartes : vos chaussures deviennent à la fois un suave appel de pied et un  objet d’art, vous devenez à la fois icône de la mode et objet de désir charnel ! Pour reconnaître si une femme dans la rue fait partie du clan, c’est facile : les semelles des chaussures Louboutin sont rouges, couleur de la joie et de l’énergie en feng-shui !

Un personnage ensuite, original, sympathique et éthique. A l’âge de 16 ans, il vend ses premières chaussures à des danseuses de cabaret ! Lisez l’interview de Julienne de Sourdis pour mesurer l’humour, l’amour des femmes, la profondeur de ce styliste né en  1963, passé par Chanel, Saint-Laurent… Et avec un côté enfant grandit, qui sait faire revivre nos plus beaux rêves de petite fille : pour Nicole Kidman, Louboutin a recrée les chaussures de Cendrillon, en cristal Scharwotsky.

Bref, une marque pour toutes les femmes qui ont envie d’affirmer leur droit au luxe et à la féminité, au moins une fois de temps en temps ! A dénicher chez Net à porter.