Il faut savoir faire fi des tendances annoncées…
Il y a des concepts difficiles à définir. La frontière entre le bien et le mal, la tektonic, le mauvais goût… Et celui de la fashionista. Personnellement, cela ne m’évoque rien de bon, et Sarenza est venue me le confirmer.Selon le site référence, cette jeune demoiselle est ainsi « à l’affût de toutes les nouveautés », ce qui me semble plutôt logique, « ne quitte jamais son iphone » (faut avoir les moyens), et « copie Nicole Richie, Kate Moss et Sienna Miller », propos qu’elle vient nuancer en ajoutant qu’ « elle sait aussi innover pour se créer un look unique et se construire un look qui lui ressemble ». Faudrait pas qu’elle vexe ses meilleures clientes en les assimilant à de simples copiées collées.
Et pour appuyer ses propos, Sarenza nous propose une sélection de chaussures strictement réservées à la fashionista. Si pour être considérée à la pointe de la mode, je dois porter ces ballerines made in Ash, je préfère encore me considérer comme une arriérée et continuer à user mes compensées San Marina.
Entre Céline et Emmanuelle Seigner
Y’a des choses comme ça qu’il est difficile d’expliquer. 
Après avoir passé six heures sur les bancs de la fac, et plus particulièrement après en avoir passé deux interminables à noter toutes les propriétés physiques de la terre, je me prépare mentalement à être littéralement pressée par la foule envahissante du métro (j’arrive à la fin de ma phrase, vous inquiétez pas) quand 
Arthur cherche le Graal, moi je cherche les chaussures parfaites
Première dame de France, ça vous tente ? 
Le goût du luxe, certaines l’ont, d’autres pas
Troisième démarque oblige, je suis littéralement bombardée de mails par 
Une fois n’est pas coutume, je ne vous parlerez pas de chaussure cette fois-ci. Mea culpa mais