Converse : Converse, Candy et Vladimir

Converse s’installe durablement chez Sarenza

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Dans un monde idéal, Britney Spears n’existerait pas, les élections présidentielles en Russie ne seraient pas outrageusement falsifiées (tant qu’à faire, autant instaurer une bonne vieille tyrannie…), Pete Doherty habiterait l’appart d’à côté, et il nous serait possible de porter des talons de dix centimètres H24.
Evidemment, nous ne vivons pas dans un monde idéal et, pour être honnête, tant mieux. Le pays de Candy, perso, ça me tente pas trop.
Quoiqu’il en soit, il faut donc parfois se résigner à porter des talons plats, et tant qu’à faire, autant taper dans la valeur sûre, j’ai nommé la Converse. La nouvelle collection de cette griffe mythique, qui a d’ailleurs fêté ses quatre vingt dix ans d’existence l’année dernière, a ainsi élu domicile depuis peu chez Sarenza. Cinquante et un modèles, treize couleurs différentes, plus de trente nouveautés, vous n’avez que l’embarras du choix. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde, n’est-ce pas Vladimir…

 

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