Ines de la Fressange introduit son chic parisien au prêt-à-porter …

… et aux chaussures.

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Retour sur une success story : née d’une mère argentine et d’un père français, Inès Marie Laetitia Eglantine de Seignard de La Fressange fait ses premières photos de mode à 18 ans, pour le magazine Elle. Elle devient en quelques années le mannequin le plus connu au monde et le mieux payé. Les années 80 voient sa consécration alors qu’elle collabore avec Kenzo, Mugler, Montana et Lacroix. En 1983, la jeune femme signe un contrat d’exclusivité avec Karl Lagerfeld pour la maison Chanel ; leur collaboration durera sept ans. Elle sera interrompue également, à grands fracas. En 1994, Inès de La Fressange ouvre sa boutique avenue Montaigne et crée sa propre marque. Le succès est immédiat, au Japon et aux Etats-Unis notamment. Outre sa collection de prêt-à-porter, elle crée tout un assortiment d’objets pour la maison, un grand choix d’accessoires et de chaussures. Sa boutique et sa ligne lui ressemblent, modèles d’élégance et de raffinement. Et elle ne s’arrête pas là : en 2002, elle collabore avec le Bruno Frisoni pour relancer la marque de chaussures haute couture Roger Vivier, dont elle devient directrice artistique, puis PDG.

Elle revient cette saison pour une deuxième collection. Couleurs sobres, lignes structurées et féminité : plus que jamais, les silhouettes Inès de la Fressange riment avec élégance. S’agissant des chaussures, classiques, les ballerines et escarpins à talons moyens sont sur le devant de la scène. Le chic parisien est à l’honneur, pour une femme active et libre, toujours à l’aise dans des tenues et des chaussures conçues pour elle.

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