La Richelieu « must have » de la saison.

Des chaussures qui me réconcilient avec ma mère, c’est pas mal. Des chaussures qui font à la fois cool et strict, première de la classe et reine de la mode, c’est inespéré.

Depuis la fin de l’été, on voit fleurir les « Richelieu », des chaussures faussement androgynes, avec leur coupe fine et classique, et leurs talons vertigineux. Jusqu’à maintenant, les modèles se ressemblaient comme des gouttes d’eau londoniennes : noires. Mais il semble que ce style aie pris de l’élan, et nos créateurs se sont donc lâché la bride.

Pour mon plus grand plaisir, Sarenza propose une gamme diversifiée de ces nouveaux indispensables, du plus rock au plus glamour. La « hit shoes », ce sont les « Helena » bicolores – noires et blanches – de chez Camper : un effet graphique parfaitement maîtrisé (si ce n’est pas le cas, une telle association de couleurs fait mal aux yeux… il faut un dosage parfait, pour provoquer l’étonnement visuel, sans en faire trop). Parfait avec un slim (marre des ballerines), ou mieux, un pantalon cigarette noire, pour une silhouette un peu stricte, façon belle ténébreuse. La coupe asymétrique vient décoiffer un peu la sophistication glacée de ces belles chaussures. Le confort d’une semelle en gomme vous aidera à porter la fatalité de 7 centimètres de talons. Si vous êtes du genre impatiente, sachez qu’elles sont livrées le jour même si vous passez commande avant 14 heures.

Sympa aussi, les Ladrina San Marina bicolores, au tout petit prix de 89 euros : un beau cuir tricolore, qui me rappelle les jolies chaussures italiennes que portait ma coquette de mère quand j’étais petite : un look à la fois sportif et ultra féminin, c’est tout elle. Là encore, le talon ultra haut en gomme, la chaussure lacée qui tient bien au pied, faciliteront la marche haut perchée.

L’inconvénient ?

Y’en a pas.

Comments

  1. Sabrina says

    J’ai eu le coup de foudre dés que mes yeux sont tombés sur elle, j’ai adoré le mélange mascu féminin par lequel cette paire se caractérise. Je compte en acheter une, en marron, dés qu’on me vire la paye.

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