Les grandes marques de baskets et l’inconscient masculin: qui a la plus grosse ?

D’après Jacques Benesteau, Freud, petit scientifique raté en mal de légitimité, aurait tout simplement « bricolé » ses résultats, pour valider une théorie qui devait tout à son imaginaire (allant jusqu’à inventer des cas, ou se targuer de guérison, alors que les malades avaient sombré). Bon, le freudisme a certainement aidé plein de gens – alors, un peu de fantaisie scientifique ne nuisant pas, je vous propose, juste pour rire, un petit délire « psychanalytique ». Parole de pure profane.

Allez, regardez ce clip, fermez les yeux, allongez-vous, faites vos associations d’idées.

On connaît l’interprétation toute en élégance du fétichisme masculin envers les chaussures féminines à talons : le petit garçon, traumatisé de ce que maman n’aurait pas d’appendice mâle, fait un « transfert » sur l’objet qu’est le pied, et particulièrement le pied chaussé.

Bon, alors mettons que les chaussures remplacent le fait d’en « avoir une grosse ». J’ai vu ce film d’étudiants de Supinfocom (très brillants) qui m’a mis la puce à l’oreille : pourquoi est-ce que les hommes n’auraient pas ce fantasme inconscient, ce désir de virilité, à propos de leurs propres appendices pédestres ? Une paire de basket, pour l' »homme » viril et combattant ? Dans cette animation façon manga, un jeune homme mignon et banal, chaussé de Nike magiques, combat un gorille arborant des sneakers Adidas. Ce clip fait penser à ça.

Je dois être tordue… En tout cas, offrez toujours des Nike à votre homme : psychanalise ou pas, il se sentira valorisé que vous le trouviez si sportif.

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