Je sais qu’il faut souffrir pour être belle, mais faut quand même pas abuser…
J’ai malencontreusement zappé sur Arte il y a quelques temps (insomnie…) et suis tombée sur quelque chose de bien plus choquant que La Pianiste : les élongations volontaires de jambes. Je suis plus ou moins d’accord avec le fameux credo « il faut souffrir pour être belle », mais dans une certaine limite : les infusions immondes mais paraît-il amaigrissantes, l’épilation, les masques qui vous font ressembler à Casper, et j’en passe.
Mais se faire triturer les jambes pour gagner dix centimètres, ça relève plus du masochisme. Personne ne leur a parlé des talons ?
Ok, on souffre le martyr toute la journée, mais cette pauvre fille n’a pas pu sortir de son lit pendant six mois, et même après cette période érémitique où un tortionnaire s’occupait de resserrer diverses vis, elle pouvait limite aligner plus de deux pas. Si j’avais eu l’adresse de la malheureuse, je lui aurais envoyé direct cette paire de Luca Valentini, disponible sur Yoox, minimalistes et sexy, qui lui aurait fait gagné douze centimètres, et tout ça, sans passer par la case souffrances interminables et masochisme inexcusable.
Laisser un commentaire