Des escarpins pour un rêve déchu
Peut-être que a vous fait ça aussi (j’espère, sinon je me sens un peu seule) mais personnellement, quand je rêve de quelque chose, c’est toujours un de mes amis qui l’a avant moi (pauvre Caliméro…). Ca peut-être le dernier album des Kills, un diplôme (en même temps, difficile d’en obtenir un quand on change de filière tous les deux mois…) et le dernier en date : aller vivre à Londres.
Le rêve ultime. Pour lequel je m’efforce de regarder les DVD en VO sous-titrés anglais, de lire Le Dalhia Noir en version original, d’économiser (en vain, bien sûr) et j’en passe. Celui-là, c’est donc une amie qui me l’a allégrement sucré, en toute innocence évidemment. Face à cela, une seule chose à faire : se consoler comme on peut. Et j’ai bien sûr opté pour des chaussures.
Mais attention, pas n’importe quelles chaussures. Des chaussures qui auraient quelque chose en commun avec mon rêve déchu. Ici, c’est donc le tissu écossais qui m’a séduite. Pas très londonien je vous l’accorde, mais des escarpins aux motifs « sachets de thé et pudding » (quels clichés), ça le fait moyen. D’autant plus qu’elles sont magnifiques ces chaussures Sistershoes. Et à seulement 18 euros qui plus est. Je commence à comprendre pourquoi j’arrive pas à économiser…
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