Tendance chaussure : Le Street, c’est chic

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Tendance chaussure : Grâce au journal Les Echos, j’ai appris quelque chose que je savais déjà : les baskets reviennent en force en ville. Pas pour faire du sport, mais pour se promener. Pas très nouveau tout ça.

Ce qui est intéressant, c’est l’analyse du phénomène, ou comment nous sommes manipulés par les grandes marques de sport. 
 
Selon les Echos, il y a deux façons différentes de nous faire acheter :
 
         la méthode lâche : nous prendre par les sentiments. En clair, ressortir les baskets qu’on a portées à l’adolescence, parce qu’on est sures de ne pas pouvoir résister (quoique quand je regarde les photos…) Qu’est-ce que ça donne ? Les Freestyles de Reebok, sorties dans les 80s (et tout ce que ça implique de fluo et de mauvais goût…) et ressorties en mars chez André et Colette (pour la version haut de gamme).
Variante : la basket vintage des années 60-70, so old school et so fashion.  Le premier sur la vague : Adidas, avec la gamme Originals en 2002. Ensuite, d’autres, comme Asics avec la Onitsuka Tiger. Un bon point : cette tendance a permis de remettre au goût du jour la marque Coq Sportif : quand elle a sorti sa petite ballerine en 2004, je me souviens, j’en étais totalement folle !
 
         la méthode sournoise : nous comparer aux stars. Parce qu’ils savent bien que si Scarlett les a, je vais aller les acheter, juste parce qu’on sait jamais, avec ça aux pieds, je peux peut-être lui ressembler… Les partenariats avec les stars sont en vogue dans toutes les marques : on connait toutes les lignes Stella Mc Cartney pour Adidas et Scarlett Johansson pour Reebok. Et pas seulement pour porter les produits, mais aussi (et surtout) pour les dessiner. Who’s next? Les Echos nous donne l’info : une collection créée par Yelle, la DJette préférée des soirées branchées.  
Prochaine étape : la customisation perso sur le net. On vous en a déjà beaucoup parlé, je reviens pas dessus (vous allez croire qu’on radote !), mais ce qu’il faut retenir ; c’est : ça marche !
 
Je les trouve un peu réducteur, moi, les journalistes des échos. Et si nous n’étions pas manipulés ? S’il y avait une autre raison au succès du streetwear ? Moi je sais, et pas besoin de se creuser les méninges à comparer les marges commerciales brutes de l’activité pour améliorer la rentabilité : le streetwear, c’est beau, c’est chic, et c’est pratique. Un conseil : on se jette sur le modèle adidas original vendu chez sarenza (en photo en haut) : j’adore !

 

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