Chaussure femme, mea culpa d’une no glamour repentie

C’était il y a une semaine à peu près, je feuilletais un magazine de mode en fumant clope sur clope – c’était sûrement samedi, je fais ça tous les samedis, quand j’ai été agressée par une page tendance vantant les mérites de ballerines or. Etant plutôt une adepte de Westwood que de Guess, j’ai brûlé le dit-magazine pour propos insultants et décidé de ne plus jamais l’acheter de ma vie.
Et puis le lundi (suspense, suspense), j’ai été agressé par les mêmes ballerines, mais cette fois portée par une fille de la fac. M’arrêtant sur l’objet du délit – qui peut porter ça ? – je suis remontée peu à peu (ça fait assez psychopathe dit comme ça mais c’était seulement dans un objectif purement analytique), et je dois avouer que c’était trop classe ! Accordée à la bonne tenue, collant noir, bermuda jean et tee-shirt destroy, j’ai même été tenté de les lui racheter. Cela dit, ça aurait été assez mal perçu je pense, donc je me suis contentée de les commender sur internet.
Du coup, elles restent dans mon placard, j’assume pas encore le côté doré, mais d’ici quelques années, j’aurai peut-être le courage de les mettre…
Trop excentique, trop flashy,
Il y a de cela deux ans environ, alors que je n’étais qu’une jeune fille innocente, j’ai perçé l’un des grands mystères de l’humanité : 
Ca faisait longtemps qu’aucune actualité n’avait été dédiée aux célèbres
Pour nous, 
C’est un des grands mystères de Sex and the City. On s’accorde toutes à dire que cette série culte fait office de religion en matière de mode, mais honnêtement, vous sortiriez habillée en chemisette argentée et casquette NBA ?
Mais