Spécial Chaussures Confortables : 450 paires de chaussures confort à portée de clic

Des chaussures, comme me le disait mon père, ça doit avant tout être confortable ! En tant que Fashionata, j’ai parfois tendance à l’oublier (ma grand-mère dirait « il faut souffrir pour être belle » !) tellement je suis prête à me gâcher la vie à porter des stillettos qui m’ont fait craquer !

Mais c’est un principe de base si on fait du shopping pour trouver des chaussures qui nous permettront de passer un été agréable, et encore plus si on choisit pour ses enfants. chaussureconfortable1.jpg

 Chez Sarenza,  on trouve une gamme de 140 chaussures confortables pour dames, 70 pour hommes (toujours plus simple pour eux !) et… et 265 modèles spécial confort pour enfants.  Tout ça à moins de 80 euros (et à partir de 30 ou 40 euros en moyenne).

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Cette dernière catégorie pourrait passer pour une lapalissade (comment pourrait-on proposer des chaussures pour enfant d’une AUTRE catégorie )… mais on se souvient toutes des chaussures choisies par maman, qui, pour reprendre les pubs Petit Bateau, n’étaient pas conçues pour  « faire des choses dedans » (mais plus pour faire une jolie image d’enfant parfait !). Alors, j’adore leur sélection de modèles colorés comme des bonbons, certains douillets comme des chaussons, d’autres tout terrain.

chaussuresenfants.jpg Mon Top Trois pour les valises : des petites bottes rigolotes pour le laisser s’éclater dans les champs (sans que les hautes herbes lui grattent les jambes ou que la boue ne salisse son jean), des nu-pieds Kickers en cuir hyper-solide (parfait dans les valises, car elles seront aussi bien pour aller visiter des musées sans en avoir plein les pieds, qu’à la plage), et des chaussures d’intérieur pour une soirée pyjama entre petits monstres.

Testé pour vous : la livraison express et écolo de chaussures par Sarenza

Le site de vente de chaussures Sarenza propose à ses clients parisiens de les livrer en mode écolo : un coursier vient déposer chez vous les chaussures que vous avez commandé le jour-même sur le site.

Nous avions déjà parlé de ce service lundi dernier ( Sarenza : livraison écolo) et cet article a intrigué Thibault, le seul homme de notre équipe. Il a donc testé le service pour nous et pris quelques photos au passage. Voici son récit :

IMG_0093.JPG– Jeudi, 11h00 : j’ai besoin de changer de chaussures de running, car les miennes sont usées et réveillent ma tendinite. J’ai envie d’essayer le service de Sarenza, surtout parce qu’il promet une livraison expresse et que j’ai envie de courir dans moins de 24 heures. Le côté écolo, c’est un peu la cerise sur le gâteau.

– Jeudi, 11h15 : en fait, en pointure 42,5, je n’ai trouvé que 2 bonnes paires de running sur le site. Heureusement, ce sont des Nike que je connais un peu. Mon choix s’arrête sur la très classique Air Pegasus 2007.  Une chaussure parfaite pour son soutien de la voûte plantaire et pour courir 2 fois par semaine. Remarquez bien que je prends peu de risques : je connais ma pointure en Nike, je connais les Pegasus qui sont un standard dans le domaine et je sais que les retours de marchandise sont gratuits si j’ai un souci.

– Jeudi, 11h19 : le site me demande de choisir un mode de livraison. Le premier qui se présente est justement : « La livraison EXPRESS et ECOLO par coursier à vélo » . Je suis à Paris, dans le 16e, donc je puis être livré. La zone de livraison comprend Paris, Boulogne-Billancourt, Clichy, Issy les Moulineaux, Neuilly sur Seine, Levallois-Perret, Courbevoie, Puteaux et Saint Ouen.

IMG_0090.JPG– Jeudi, 11h20 : comme je suis en train de passer commande entre 10h et 14h, le site m’informe que je serai livré entre 16h30 et 19h00. Je vais donc me faire livrer au bureau, pas de souci.

– Jeudi, 11h21 : chez Sarenza, la livraison est gratuite. Sauf dans le cas de cette livraison par coursier vélo. Le coût est alors de 10 euros. Je suis OK, cela le paraît juste pour un service express.

– Jeudi, 11h30 : j’ai fini ma commande et reçu un e-mail de confirmation. Reste plus qu’à attendre.

– Jeudi, 16h30 : je regarde un peu ma montre.

– Jeudi, 18h30, du bruitsur le palier, on me cherche : c’est le coursier. Il a son casque de vélo sur la tête, un bermuda et un sac orange à la main. Mes Nike sont arrivées !

IMG_0096.JPG– Jeudi, 18h32 : le livreur me fait signer un reçu sur son petit appareil électronique, me remet le paquet, et voilà. Je discute un peu avec lui, en le raccompagnant. Il est OK pour que je prenne quelques photos de lui. Je comprends qu’il livre différents type de produits dans Paris, et pas seulement des chaussures. C’est un bon rouleur, un vrai cycliste, qui fait des courses dans tout Paris. Il a récupéré mes chaussures à Opéra et me les a apportées jusqu’à mon bureau du 16e.

– Jeudi, 18h35 : Je donne un pourboire au coursier et le salue.

– Jeudi, 18h40 : j’essaie mon Air Pegasus 2007 : pas mal, un peu trop grande ? Je vais marcher un peu .. pas mal en fait … mais l’heure de vérité sera demain, quand j’irai courir

– Vendredi, 19h10 : mes Nike Pegasus aux pieds, je file vers le Bois de Boulogne. Bonne température, course relaxe d’une fin de semaine, juste avant de regarder le foot. Vais-je réveiller ma tendinite ? Après 50 minutes, tout va bien : la fermeté du soutien de la voûte plantaire me surprend même. Cela signifie deux choses : ce sont de bonnes chaussures et celles que j’avais avant étaient vraiment trop usées …

Conclusion : j’ai fait un bon achat de chaussures et je suis ravi des les avoir reçues en expresss. Pour 10 euros, commander des chaussures le matin et les avoir aux pieds en fin d’après-midi, c’est génial !
Je suis donc très satisfait du service express de Sarenza.
Maintenant, le côté écolo ne m’avait pas trop attiré et en y réfléchissant, je suis toujours aussi sceptique. En effet, ces chaussures ont été apportées d’Opéra (centre de Paris) au 16e (Ouest de Paris) par un coursier à vélo. Bien. Mais il ne faut pas oublier que ces chaussures sont venues de Chine, par bateau ou par avion. Ensuite, elles ont été aménées par camion chez Sarenza. Puis, au moment de ma commande, je pense qu’un véhicule est allé de chez Sarenza déposer mes chaussures au service de coursiers à Opéra. (Addendum, après précision de Sarenza : en fait, un coursier à vélo va chercher les chaussures au stock de Sarenza, les rapporte au centre dispatching d’Opéra, où un autre coursier prend le relais).

IMG_0097.JPG Est-ce vraiment plus écolo que de m’envoyer le colis par La Poste ? Je ne le sais pas, mais je me pose la question.

Mon avis est donc que le côté express est un vrai service, alors que le côté écolo est un habillage marketing moyennement convaincant.

Sarenza : livraison écolo

Une initiative honorable 

Ecolo.jpgJe vous ai déjà fait part de mon écoeurement pour l’écologie, je ne m’étendrais donc pas plus là-dessus. Enfin, si, un peu. Pour prétexte, je prendrais Sarenza et sa livraison écologique.
 
L’incontournable site de vente en ligne lance en effet la livraison express, dans la journée, et par coursier à vélo, s’il vous plaît. Initiative somme toute plus qu’honorable.
Ce qui me dérange vraiment avec l’écologie, c’est plus cette impression de mode, dans le genre « je recycle mes déchets parce que c’est dans l’air du temps ». Ce critère mis de côté, la livraison écolo de Sarenza mérite le respect et permet aux hypothétiques écolos qui ne peuvent se défaire des chaussures en cuir de déculpabiliser un peu.
 
Seul problème : la livraison par coursier se limite à Paris. C’est sûr que pour faire Paris/Lyon (ou autres) à vélo, il faudrait tout de même plus qu’une journée.

Buffalo : le questionnaire de Proust version Sarenza

Des chaussures de stars à un prix abordable 

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Le monde du cinéma est en deuil : le Festival de Cannes est officiellement clos. Je sais, ça ne date pas d’hier, mais je n’avais pas encore eu l’occasion d’en parler. Personnellement, ce que je préfère dans ce festival, c’est le discours du maître – ou de la maîtresse de cérémonie. Ce que je déteste dans ce festival, ce sont les longs discours et les personnalités qui essayent d’être drôles lors du palmarès. Et puis il y a la montée des marches.
J’avoue que ça ne m’a jamais spécialement fascinée alors je me suis inventée un p’tit jeu. Non, je n’ai rien d’autre à faire. Le truc embêtant avec ces starlettes qui gravissent les marches, c’est qu’elles portent toujours de très longues robes, qui cachent donc leurs chaussures à 2000 dollars. Alors j’essaie d’imaginer. Evidemment, c’est un peu facile puisque je ne peux qu’imaginer.
Néanmoins, Sarenza est venu m’apporter quelques éléments de réponse avec sa sélection Tapis Rouge. On avait déjà Dis-moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es, on a maintenant Dis-moi quelles chaussures te font craquer, je te dirais quelle star tu es. Attention, but du jeu : ne pas regarder les personnalités et surtout, ce qu’elles ont aux pieds, et choisir le modèle qui vous plait. Ce qui est très vicieux puisque vous avez le choix entre Lindsay Lohan, Kate Moss, Zoé Felix, Paris Hilton et… Céline Dion.
Personnellement, j’ai craqué pour ce modèle griffé Buffalo et j’avoue que je suis bien tombée (chevilles qui enflent…). Juste une chose : je vous déconseille les modèles argentés.

Art : écolo pour le meilleur… et pour le pire

Chaussures bio et déchets 

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Comme toute enseigne de distribution massive, Sarenza surfe sur la vague du moment : l’écologie. J’avoue que je ne suis pas vraiment ce que l’on pourrait appeler une fille écolo. Pour être honnête, ça me passe carrément au dessus de la tête.
Non, je ne tris pas mes déchets, je n’achète pas de produits estampillés bio et si je prends les transports en commun, ce n’est pas pour limiter la pollution mais tout simplement parce que je n’ai pas les moyens de me payer une voiture. J’entends déjà les fervents défenseurs de la planète crier au scandale, mais il faut vous faire à  l’idée : l’écologie, c’est pas un truc universel. Faut croire que certains l’ont, d’autres pas. Sûrement une question d’égoïsme ou de jemenfoutisme.
Quoiqu’il en soit, Sarenza met à l’honneur les chaussures bio, avec des griffes telles que Simple, Art, Neosens, Pikolinos ou El Naturalista. Evidemment, il aurait été facile pour moi de faire une fois de plus l’éloge dithyrambique de Neosens et par là même, des chaussures bio. Mais l’écologie n’a pas que de bons côtés. Surtout en matières de chaussures.
Pour preuve ce modèle griffé Art, qui se passe de commentaires. Cela dit, il semble que tous leurs modèles soient faits suivant le même moule qui, vous l’aurez sans doute compris, ne m’emballe pas des masses. Neosens mis à part, si vous me trouvez des chaussures écolo ET sexy, je suis prête à trier mes déchets.

Chaussures mode : surfez sur les époques et les pays

Le tour du Monde, à pieds, cela vous dit ? Bon, vous y réfléchirez.

En attendant, Wikipédia nous offre un tour du monde des pieds bien sympa : tapez « chaussures » « cultures » dans le moteur de recherche, et vous aurez un tour de l’Europe et d’ailleurs, des lignes les plus surprenantes aux plus classiques. Je me suis amusée à chercher des correspondances. Pas des correspondances baudelairiennes, mais des modèles équivalents en boutique, pour égayer votre été. Vive la vie, viva la fiesta !

D’abord nous avons le « zogi ». AA -Zori1.jpgLa première chose que j’ai pensé en cliquant sur le lien, c’est « ah non, ça ça doit être introuvable vu le nom » : pas du tout. Ces sandales japonaises ressemblent à des tongs : Mesdames, si vous voulez faire de l’éthno-chic subtil, arborez une robe tunique, une ceinture turban en cuir à la taille, un chignon et des tongs. Les esprits les plus imaginatifs saisiront le clin d’œil, les autres trouveront votre look simple et léger. Culturellement, les zogis sont futées puisque les japonais se déchaussent partout (même dans un resto chic !).

Pour Monsieur, un très beau modèle chez Yoox. C’est tout bête, mais j’aime la combinaison couleur noir et ligne design (les deux lanières qui se rejoignent) pour 40 euros. sandales classe.jpg

Pour Madame, pour rester dans un esprit Zen, vous choisirez surtout le modèle le plus sobre, comme ces tongs Emportorio Armani qui reproduisent à la perfection le type japonais.armani.jpg

Elles coûtent 40 euros.

Ou alors, on va chez Dress for less, et on commande vite une paire de ces chaussures jaunes à moins 48 pour cent (sic), soit moins de 25 euros. Vu les jolies finitions, plus le fait qu’elles sont en cuir, c’est un SA (Super Affaire).

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Ensuite, nous avons la Caligae, ou godasse de l’armée romaine. Alors là, désolée, mais c’est tellement moche, que je ne vais surtout pas chercher des modèles équivalents. Les spartiates, c’est mille fois plus beau !

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Ensuite, nous avons l’espadrille. Mon encyclopédie libre préférée m’informe que ces chaussures apparaissent en 1890 (ouah, c’est précis….) dans les Pyrénées, et qu’à l’origine c’étaient des chaussons. C’est aussi un des basiques du placard de Gaston Lagaffe ! En tout cas (et sans vouloir faire de parallèle désagréable) j’en ai toujours eu une paire : toujours cool, toujours indémodable, toujours confortable. Toujours passe-partout (euh non ! ça c’est pas vrai). Vu qu’elles ne durent pas, on cherche des modèles pas chers, qu’on achètera de toutes les couleurs ! Par exemple, un modèle coloré, Tommy Hilfliger tout de même, mais à presque moins 40 pour cent, soit 25 euros.

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Si les motifs hawaiiens ne vous plaisent pas , vous choisirez chez la Redoute une espradille bleu lavande ou kaki, à moins de 6 euros (- 60 pour cent). espadrille la redoute.jpg

Ensuite, nous avons des modèles rigolos, mais plus difficile à assumer (rires) : des sandales japonaises en paille de riz (Waraji), ou des sabots (ça, je suis capable  ! mais ce n’est pas à la mode DU TOUT !). Ou encore des poulaines (sortes de bottes à bout montant, du Moyen-âge), des ghillies (ça c’est joli, ce sont des chaussons de danse irlandais, une sorte de ballerine spartiate).

Le tout, si vous aimez le côté exotique ou atypique, c’est rester dans la nuance, et de ne pas hésiter à mixer : plutôt que le total-look geisha, une petite blouse en soie, un collier africain (mixer, vous dis-je !), un pantalon tout simple et des tongs. Plutôt que le total-look décontract, une jolie robe un petit peu girly, et des jolies espadrilles neuves (ou pour Monsieur, un beau pantalon blanc et un polo branché). C’est l’été, amusez-vous, mettez le monde à vos pieds !

Kickers : solution de secours

Une invitation au voyage 

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Je ne sais pas pour vous mais j’ai toujours eu envie d’aller dans le désert. Bon, je viens de voir Le Patient Anglais, ce qui a mis un sacré coup à mon enthousiasme, mais ce n’est pas un film où des gens se retrouvent ensevelis sous le sable ou qui marchent pendant des jours sans eau à la recherche d’une once de civilisation qui m’arrêtera. Non, c’est plutôt le budget qui pêche…
Alors quand on n’a pas les moyens de s’offrir quelque chose, on se rabat sur autre chose, nettement plus abordable. En attendant. Escapade au Japon ? Kimono. Amérique du Sud ? Bonnet péruvien. Etats-Unis ? Euh… Mac Do ? Que de clichés… Cela dit, quand on ne s’est pas immergé dans une culture, il est normal de se laisser aller aux clichés puisque c’est alors la seule chose que l’on connaisse.
Pour ce qui est de mon trip dans le désert, je me suis laissé tenter par ces nus pieds griffés Kickers, disponibles sur Sarenza. Mais attention, ce ne sont pas n’importe quels nus pieds puisque c’est le modèle Sahara. Vous avouerez qu’on peut difficilement faire plus explicite…
Et à moins de soixante dix euros, c’est nettement plus abordable qu’un aller simple pour l’Afrique. Je sais, c’est un continent mais il traverse trop de pays, le Sahara. Et je suis pas calée question géographie.

Soldes : les achats chaussures bon plan sans l’hystérie collective

Une ville en Juin, en France, ce sont des terrasses, des petits apéros aux terrasses des cafés ; des marchés le matin…. Et le début de la saison des soldes.

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L’occasion de passer des bons moments entre copines (surtout si elles ne me perdent pas dans la cohue, merci les filles ), de chercher les beaux basiques de qualité, les petits modèles un peu fous (on s’en veut moins de choisir cette jolie robe à poids, qu’on aura certes peu l’occasion de porter, si elle est à moitié prix), et pour les plus veinardes de réaliser un rêve (oh ! Ces bottes hors de prix sont devenues dans mes prix !). Pour les mamans, dont les bouts de choux grandissent si vite, les soldes devraient être une institution nationale au même titre que la carte famille nombreuse !

Que fait la vraie soldeuse ? Déjà, elle s’organise : elle connaît les dates à marquer sur son agenda, histoire de compter les jours en attendant (non, je plaisante là). Globalement, officiellement, elles commencent le mercredi 25 juin, pour finir le 2 août. Vous pourrez ensuite en profiter pour faire du tourisme dans les quelques départements, comme le Finistère, qui prolongent le festin jusqu’au 5 août.

Ensuite : elle y pense, elle en rêve… et elle prospecte… Histoire de faire les vraies bonnes affaires, celles qui lui conviennent, parce qu’elle aura bien étudié le marché (donc elle sera plus réactive à ces superbes spartiates en cuir verni Ash que vous voyez sur la photo, moins 50 pour cent).

Souvent, en boutique, ceci est justement difficile. Je vous mets au défi, voyons si vous êtes meilleure diplomate que moi : à chaque fois qu’une pièce m’a fait craquer, peu avant la saison fatidique, et que j’ai demandé à la gentille vendeuse si l’article serait soldé, la réponse était digne des meilleures présidentielles (langue de bois et bouche cousue). Comme je suis une grande sentimentale, combien de fois ne suis-je pas repartie avec un article (craignant que le stock ne s’épuise) qui se trouvait quelques semaines plus tard à un bien meilleur prix ?

Alors chez Sarenza, je les trouve plus que sympa. Déjà, pas besoin de se déplacer pour écumer les affaires. Alors, on règle son réveil un peu plus tôt, on se débrouille pour être devant son ordinateur le mercredi 25 juin, parce que cela commence dès 8 heures, et (c’est là qu’ils sont très sympa) moins 50 pour cent dès la première démarque ! Heureusement que certaines ne seront pas physiquement là pour se battre. Si vous vous décidez, d’après le communiqué de presse, non seulement vous avez votre colis dans les 48 heures, mais, petit geste écolo, si vous habitez à Paris ou en Région parisienne, « Sarenza.com vous offre la livraison dans la journée par coursier écolo à vélo pour toute commande passée avant 14h ». Peut-être le début d’une grande histoire d’amour…

Ensuite, pas d’écriteau louche vis-à-vis de la législation genre « les articles en solde ne sont ni échangés ni repris » : vous n’aimez pas, vous renvoyez et c’est pris en charge. Mais vous allez les adorer, vos petits escarpins livrés gratuitement par ce beau garçon sportif ! Bon, au moins vous savez d’avance à quoi ressemblent les escarpins.

Commencez par saliver devant la photo de ces soldés promis par Sarenza !

Perlato : Journée nationale du pied

Vous avez dit bizarre ?

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Il paraît qu’aujourd’hui, c’était la Journée nationale du pied. J’avoue qu’à mon grand regret, j’ai toujours un train de retard sur les évènements essentiels de ce genre. Une Journée du pied… C’est vrai qu’il n’y a rien de plus capital qu’une journée dédiée à notre voûte plantaire en ce moment…
Quoiqu’il en soit, celles qui étaient au courant ont peut-être profité de l’occasion pour aller consulter un podologue qui, pour cette occasion, vous faisait profiter de sa science gratuitement. Je vais déjà pas voir le médecin quand j’ai 45 de fièvre alors consulter un podologue…
Cela dit, quelques conseils de ces professionnels du pied en exclusivité mondiale (c’était dans le 20 Minutes…) :
         « les talons ne doivent pas dépasser quatre centimètres ».
         « il faut éviter les modèles trop étroits ».
         « les ballerines, qui ne maintiennent pas suffisamment le pied, ne sont pas recommandées ».
         « il ne faut pas porter de baskets tous les jours parce que les pieds s’affaissent et deviennent plats ».
Alors récapitulons : pas de ballerines, pas de tongs, pas de baskets et pas de chaussures de plus de quatre centimètres de talons. Juste une question messieurs les podologues : qu’est-ce qu’on porte ? Rien ? Ah ben non, on peut pas parce que sinon « ça maintient pas suffisamment le pied » …
Je vais donc me faire l’avocat du diable en vous proposant ce modèle signé Perlato, disponible chez Sarenza : quatre centimètre de talons (limite…) qui affiche également un charme vintage non négligeable. Je vous l’accorde, ce ne sont pas les chaussures du siècle, mais il paraît que question santé, il faut faire des compromis.
Qu’est-ce qu’il y a monsieur le podologue ? Elles sont légèrement trop pointues ? Ah bon… Bien, je vais me mettre aux mocassins alors.

 

Achat chaussure de footing : mon premier pas vers la minceur ?

Courir, au Japon, offre un moment de socialisation, intégré au quotidien de bien des femmes, après une (dure) journée de travail.

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Le sport, est, paraît-il, une institution nationale, une mode durable depuis les Jeux Olympiques de 1912 : effectivement, c’est un sport économique (pas de coach, d’équipement compliqué), et ça brûle vite et bien les calories !

C’est ce que nous explique le Herald Tribune – qui je le découvre est une mine d’information sur les tendances.

D’un autre côté, le running est aussi connu comme un sport super-ennuyeux… Donc, c’est bien de courir entre copines, ou avec un ipod, et c’est bien encore mieux de se récompenser (d’avance) de ses efforts, avec quelques petits plaisirs côté tenue. Je leur pique leur photo (à Herald) pour vous donner une idée !

Pour me félicter du temps passé à étudier à la maison, je m’offre une très jolie « tenue d’intérieur » Princesse Tam Tam.

Si vous courrez, donnez-vous un petit encouragement : imitez les japonaises, qui cherchent à se dégager de l’esprit de sérieux associé aux athlètes : « les jeunes femmes s’affichent dans la rue en jupettes de course, leggings, tee-shirts moulants, et chaussures aux couleurs arc-en ciel dénichées, sinon chez les leaders de vêtements de sports, plus certainement chez Muji – qui a sorti une nouvelle ligne de vêtements pour la gym et le yoga », nous explique Herald Tribune. Comme elles, vous commencerez donc à vous faire plaisir, plutôt qu’à chercher à devenir la-meilleure-joggeuse-de-Paris-ou-de Marseille.

Pour cela, vous pouvez aller jeter un œil chez Sarenza, il y a une rubrique « basket mode », c’est tout dire ! Pour un budget de 50 à 100 euros, vous trouverez votre auto-cadeau d’ encouragement ! Sincèrement, j’adore celles-ci, en « textile satiné » façon kimono, couleur sorbet à la fraise !

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Comme toujours avec les baskets un peu chics, elles ne sont pas données-données (90 euros) – mais justement, elles sont dans les prix, c’est correct ! Elles semblent légères, ce qui bien sûr est parfait pour courir. Tai Chi Onisaka Tiger : avec un nom pareil, je devrais m’élancer avec la célérité et l’élégance du félin !

Offrez-vous un modèle charmant, que vous aurez envie d’étrenner, avec un peu de persévérance, vous allez vous y mettre ! N’oubliez pas que le sport pratiqué régulièrement est indispensable pour « sculpter le corps », mais aussi lutter contre la fatigue intellectuelle, le stress… Ou l’envie de gifler la « concurrente » pendant les soldes d’été (qui arrivent bientôt)!