Comme je l’ai déjà dit, ce que je reproche aux chaussures « spécial grandes pointures » ou pour pieds larges, c’est… que souvent elles enferment. Elles vous coincent dans un style généralement conventionnel, voire BCBG, avec ses détails mignons ou vieillots. Ces chaussures se ressemblent : escarpins classiques ou mocassins conventionnels ? Mocassins soporifiques ou petites mules à talons ? 
Chaussures homme : le confort au bureau. Quel style adopter ?
Dans les culture d’entreprises contemporaines, il devient de bon ton de se mettre à l’aise sur le plan vestimentaire. Les pontes foulent la moquette du 11 ème étage en sneakers, et la petite stagiaire a peut-être troqué le tailleur-jupe contre un pantalon noir-veston et un tee-shirt griffé. Les vieux codes de l’élégance reculent au profit du souci de confort : est-ce parce que l’on met plus de vie privée dans le travail ou l’inverse (parce qu’on passe pas mal de temps au boulot) ?
« Chaussure Kickers » : pourquoi tout le monde les aime
Au début, cela vous surprendra peut-être, les chaussures Kickers, colorées, casual, pas coincées, allaient de paire avec la culture hippie : Sarrenza explique ça très bien. D’ailleurs, dans mon esprit, elles seront toujours associées avec les duffle-coat de ma cousine, avec des pantalons patt d’éph et des ballades en forêt. Elles m’évoquent la nature et l’authenticité.
Ensuite, ce sont devenu les chaussures parfaites des enfants et des ados : le cuir, épais et impérméable, les coutures indestructibles en faisaient des chaussures tout-terrain hyper-résistantes (c’est encore le cas aujourd’hui).
Depuis plusieurs années, les modèles ont largement été diversifié, pour femmes, hommes, enfants, ados, il existe tout un panel de styles !
Une très bonne affaire signée Brandalley
Laissez parler le « flower power » qui est en vous
J’avoue que les petites fleurs, c’est pas vraiment mon truc. Surtout sur des chaussures. Néanmoins, l’été et le soleil aidant, mon côté « cuir noir ou rien » se fait de moins en moins présent. Chose non négligeable question budget (le cuir, c’est cher) mais aussi moral. A mon grand damne, je me dois de l’avouer : les p’tites fleurs, c’est tout de même plus réjouissant que les épingles à nourrice.
« Flower power » donc, avec ces chaussures à talon griffées Keds et dispo sur Brandalley.fr. Le talon compensé à fleurs et le petit noeud rouge, ça passe ou ça casse. Pour moi, ça casse totalement mais il y a sûrement parmi vous des adeptes de la mode hippie chic.
Le retour des Converse à 25%
Jef Chaussures solde les Incontournables
Ca faisait longtemps que je n’avais pas parlé de l’une de mes marques préférées, j’ai nommé : Converse. Indémodables, confortables, toujours tendance mais assez chères en tant normal, surtout pour un budget d’étudiante. Alors quoi de mieux que les soldes pour en parler à nouveau ?
Dénichées sur Jef Chaussures, ce modèle All Star Red affiche une réduction de 25%. A peine 50 euros pour une paire de Converse, ça ne se refuse pas. Voilà qui devrait permettre aux fans de compléter leur collection et aux non initiées, d’en commencer une parce que, soyons honnêtes : une garde robe sans Converse, c’est vraiment pas sérieux.
Bata solde ses nu-pieds
Apologie des tongs
J’avoue ne jamais avoir beaucoup aimé l’été. Il fait chaud, on bronze pour un rien, le maquillage coule… Néanmoins, c’est également la période des soldes, des après-midi interminables dans la piscine, des apéros jusqu’à dix heures du soir et surtout, des tongs.
Avec les compensées et les Converse, les nu-pieds font définitivement parties de mon Top Trois question chaussures. Pratiques, confortables et pas trop chères (sauf si on les choisit ornées de diamants Swarovski…), ce sont LES chaussures à accumuler en été.
Achat chaussures confort : Les Kickers, laides ou géniales… tout ou rien
La Kickers est une chaussure ambivalente (si si !) : alors que bien des modèles sont irrésistibles, vous changez la couleur et vous basculez dans la galerie des horreurs.
Regardons par exemple les Meetik (qui sonnent « gothiques »), horribles bottes montantes en cuir noir : on nous précise qu’elles sont inspirées des chaussures des bikers, tout en restant féminines. Elles me ferraient courir dans l’autre sens si je les voyais en boutique.
Le zapping de l’achat chaussure : les gadgets les plus dingues
La créativité humaine est ainsi faite qu’en toute chose, il est possible de faire un bêtisier : dans tout ce qui est inventé autours de la chaussure, en effet, il y a parfois de quoi se poiler !
Petit inventaire à la Prévert des trucs les plus idiots. Histoire de ne pas mourir idiot(e)s.
Chaussures modes : des bottines pour nourrir mon placcard !
Des bottines, façon cuir foncé, je trouve que cela a généralement un certain cachet – un côté fille de la nature, authentique. 
Quand il s’agit d’un modèle couture, en réalité, on en prend autant soin, ou peu s’en faut, que de nos fragiles escarpins : et que je te cire, et que je t’imperméabilise… Mais si il s’agit de faux cuir vernis, on a : l’allure (à condition de bien choisir), pas d’entretien… et un prix divisé par trois au moins. Certes, ça a moins de cachet, et ça ne patine pas. D’un côté, je n’ai pas toujours 100 euros à dépenser.
Soldes sur les Rocket Dog
J’adooooooooooore la vente en ligne
J’ai rarement été aussi frustrée qu’aujourd’hui. Je ne sais plus quel héros tragique a un jour proféré le fameux « Oh machin (trou de mémoire), ô vieillesse ennemie ! » mais cela aurait pu être moi l’espace d’un instant. En changeant un mot toutefois. N’ayant pas encore atteint les 22 ans, la vieillesse reste quelque chose d’assez floue pour moi (niark niark)… Remplaçons-la donc par « pieds ». Trop grands ou trop petits mais toujours « trop ».
J’ai totalement flashé sur cette paire de ballerines Rocket Dog dans un vrai magasin de chaussures (par vrai, entendez infrastructure matérielle), soldées de surcroît, mais je n’avais le choix qu’entre un 37 et un 41. N’ayant pas arrêté ma croissance à 14 ans, le 41 me paraissait tout de même plus plausible mais j’ai malheureusement dû me rendre à l’évidence : j’aurais fini par les perdre au bout de deux jours tellement je flottais dedans.