Soldes : Les mots qui agacent

yurkievich.pngSoldes : C’est fou comme quelques mots peuvent parfois nous rendre dingues. Pour certaines, c’est le « je t’aime » murmuré au creux de l’oreille par l’être cher. Pour moi, là tout de suite, c’est ça : « plus que 5 produits disponibles », lu au dessus de la chaussure désirée.

Flashback : je me promène sur différents sites pour repérer les trouvailles dont je vais vous parler. Pendant à peu près un quart d’heure, rien. Le calme plat. Les soldes auraient-elles trop bien marché, pour qu’il n’y ait plus aucune belle paire de chaussures disponible ? Mais heureusement, mon regard est soudain attiré par un nom tout nouveau pour moi : Brandalley, un site de déstockage créateur. Je vais sur la page chaussure, sans grande conviction, et pour cause : les premières pages ne sont pas vraiment inspirantes.
Mais arrivé à la page 5, mon opinion sur le site a complètement chaviré. 5 modèles de Gaspard Yurkievich, tous soldés à plus de 60%; Le rêve ! Parmi eux, une paire d’escarpins rose poudré, à 109 euros au lieu de 300… Bon, là, je respire, et je répète mon mantra : on sait jamais, à la toute fin des soldes, il en restera forcément, je reviendrai les acheter, et elles seront sûrement encore moins chères ! Mais voila que 5 petits mots viennent s’afficher au-dessus de mes escarpins chéris : « plus que 5 produits disponibles ».
Ecrits dans une horrible couleur fuschia (oui, j’exagère), ces mots se frayent insidieusement leur chemin dans mon esprit et explosent dans un coin de mon cerveau (j’exagère toujours…), balayant tous mes espoirs de récupérer les escarpins plus tard. Et qu’est-ce qu’on tire comme conclusion ? Qu’il faut les acheter tout de suite. Voila la triste vérité, nous sommes encore et toujours manipulées.
Mais en même temps (me crie une petite voix dans mon cerveau !), heureusement qu’on me prévient qu’il n’en reste plus, au moins je peux faire mon choix en toute connaissance de cause ! Comme quoi, en réalité, être manipulée, comme je le dis souvent, j’adore ça !

 

Un nom, un style : Eram, féminité et légèreté

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Chaussure femme : Les soldes, ça peut être vicieux. On pense qu’on fait une bonne affaire, et en réalité, on vide son compte en banque et en moins de deux, l’huissier vient frapper à notre porte…

Bon j’exagère un peu c’est vrai, mais c’est pour la bonne cause ! Certaines marques pensent au moins fortunées d’entre nous et mettent à notre portée des modèles chic et trendy. Un véritable exploit, quand on voit les autres marques !

Tout n’est pas à prendre dans la collection Eram, mais au moins, en théorie, on pourrait tout se permettre, et le choix est vaste.
Eram nous propose sa collection « maison », mais aussi des marques externes, comme Adidas ou Puma pour le sport, Converse et Roxy en streetwear, Esprit pour la tendance, et la liste n’est absolument pas exhaustive bien sûr. Vous pouvez voir l’ensemble de la collection, ainsi que les prix en suivant ce lien. Un vrai plus, qui permet aux paresseuses de ne pas déplacer pour rien !Mon coup de cœur : la paire de boots en photo. Elles viennent de chez Morgan, et sont soldées à -30%. Si ça, c’est pas tentant
Chaussures et soldes à part, ce que j’aime le plus chez Eram, ce sont ses publicités. Vues, revues, téléchargées, citées, les pub Eram sont de vraies merveilles d’humour et de féminité. Je vous ai mis celle que je préfère en lien, mais allez faire un tour sur youtube : il y en a beaucoup d’autres, toutes aussi sexistes, et toutes aussi hilarantes. Du pur bonheur !

SOLDES : Bottes : 3 budgets, 3 styles

SOLDES : Parce qu’on ne peut pas tout avoir, mais aussi parce qu’on n’a pas forcément envie de tout avoir !Je vous propose trois paires de bottes marron, toutes les trois superbes, pour trois budgets mais surtout trois looks différents.

Tout d’abord, voici des soldes bottes sur 9 paires de bottes femme. Puis, en dessous, nous présentons un gros plan sur 3 bottes, pour 3 looks différents.

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La BCBG
Le luxe à l’état pur pour cette paire Giuseppe Zanotti, disponible sur le site Yoox, qu’on adore toutes. La doublure en cuir chocolat est très belle, les surpiqûres, élégantes, le talon, haut juste ce qu’il faut (9,5 cm) !
Comptez tout de même 294 euros pour vous offrir cette merveille : quand on sait qu’elle en vaut en fait 418, on sait qu’on a fait une affaire !
Puisque Yoox est un site italien, il faut aussi ajouter les frais de livraison (7,50 € pour une délai standard => 3-6 jours ; 20 € pour un délai express => 2-3 jours)
Si jamais vous êtes déçue, ou si votre banquier menace de vous mettre en Banque de France, pas de problème ! Vous avez 7 jours pour vous décider, et ouf ! les retours sont gratuits.
Le problème, parce qu’il y en a toujours un : tout le monde a pensé la même chose que moi, et il ne reste que du 36 : à bon entendeur (ou à petit pied)…
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La Branchée
Cette fois, ça se passe sur Sarenza. Mon coup de cœur : le modèle Ester de Miss Sixty, la marque de jeans ultra pointue. Elles existent également en noir, mais j’ai adoré le cuir marron pâtiné, et aussi les découpes devant. Croyez-moi sur parole, elles seront parfaites avec votre slim brut !
Passons aux choses sérieuses : le prix, raisonnable, 167 euros au lieu de 239, soit 30% de réduction. Et comme elles sont sur Sarenza, la livraison (2 jours max) et le retour sont gratuits, et vous disposez de 100 jours pour changer d’avis. Là aussi, on se dépêche : il ne reste que les pointures 36, 37, 38 et 40.
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La Classique
Le dernier modèle vient de chez la Redoute, et surpasse tous mes espoirs en matière de soldes !
D’abord, brève description : le look est très sage, le talon mesure 6,5 cm. Disponible en deux couleurs : noir et marron (comme d’habitude, ça va devenir lassant… où sont passées les autres couleurs ?)
Et voici venir le meilleur : le prix ! 12 euros seulement ! Je ne croyais même pas que ça puisse exister !
Bon, à ce prix là, ça n’est pas du cuir, mais c’est joli quand même. Et les avantages du site la redoute sont non négligeables : livraison en 24h gratuite vers point relai, délai de réflexion de 15 jours, retour gratuit (à partir d’un point relai).
A ce prix là, on n’hésite pas !

Chaussure petit prix : André, un classique incontournable

andré.pngChaussure petit prix : André, c’est un peu le H&M de la chaussure. Une marque avec de bons basiques, mais aussi des chaussures plus sophistiquées, et parfois même branchées, quand on a le flair pour bien choisir. Et ce qu’il y a de bien, c’est qu’en achetant chez André, on a peu de risque de se tromper !

Mais quelle est la différence fondamentale entre André et H&M ? Non, je ne vous parle pas de chaussures et de vêtements, mais de quelque chose de bien plus important, qui vont sûrement vous époustoufler !
André, la marque chérie de toutes les jeunes, a en réalité plus d’un siècle d’existence ! Vous ne me croyez pas ? Allez faire un tour sur leur site : la marque est née en 1896 ! Depuis, elle a su, indéniablement, s’adapter à nos envies et à nos besoins pour rester au top, tout en peaufinant son savoir-faire au fil du temps. Résultat : de jolies chaussures, et une jolie qualité. Son créneau ? Celui du milieu de gamme, avec un prix abordable, et des designs toujours mode. Parce qu’André a bien compris que sa clientèle aimait la mode, et elle sait jouer de cet atout.
Depuis quelques années, elle multiplie les collaborations avec des marques toujours plus prestigieuses : Antik Batik, puis Maloles, et dernièrement Michel Vivien, le très hype designer parisien. Les chaussures n’étaient pas toujours parfaites (je pense très fort à la collection Maloles : aie aie aie !), mais on pardonne : l’envie de nous faire plaisir est omniprésente, et se ressent à chaque nouvelle collection.
D’ailleurs, je suis allée faire un tour dans une boutique André, samedi après-midi (au lieu de travailler… je m’en veux!): les soldes sont vraiment intéressantes, et les chaussures se vendent comme des petits pains. On y court vite, avant qu’il n’y ait plus aucune taille !

 

Tendance chaussure : Le Street, c’est chic

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Tendance chaussure : Grâce au journal Les Echos, j’ai appris quelque chose que je savais déjà : les baskets reviennent en force en ville. Pas pour faire du sport, mais pour se promener. Pas très nouveau tout ça.

Ce qui est intéressant, c’est l’analyse du phénomène, ou comment nous sommes manipulés par les grandes marques de sport. 
 
Selon les Echos, il y a deux façons différentes de nous faire acheter :
 
         la méthode lâche : nous prendre par les sentiments. En clair, ressortir les baskets qu’on a portées à l’adolescence, parce qu’on est sures de ne pas pouvoir résister (quoique quand je regarde les photos…) Qu’est-ce que ça donne ? Les Freestyles de Reebok, sorties dans les 80s (et tout ce que ça implique de fluo et de mauvais goût…) et ressorties en mars chez André et Colette (pour la version haut de gamme).
Variante : la basket vintage des années 60-70, so old school et so fashion.  Le premier sur la vague : Adidas, avec la gamme Originals en 2002. Ensuite, d’autres, comme Asics avec la Onitsuka Tiger. Un bon point : cette tendance a permis de remettre au goût du jour la marque Coq Sportif : quand elle a sorti sa petite ballerine en 2004, je me souviens, j’en étais totalement folle !
 
         la méthode sournoise : nous comparer aux stars. Parce qu’ils savent bien que si Scarlett les a, je vais aller les acheter, juste parce qu’on sait jamais, avec ça aux pieds, je peux peut-être lui ressembler… Les partenariats avec les stars sont en vogue dans toutes les marques : on connait toutes les lignes Stella Mc Cartney pour Adidas et Scarlett Johansson pour Reebok. Et pas seulement pour porter les produits, mais aussi (et surtout) pour les dessiner. Who’s next? Les Echos nous donne l’info : une collection créée par Yelle, la DJette préférée des soirées branchées.  
Prochaine étape : la customisation perso sur le net. On vous en a déjà beaucoup parlé, je reviens pas dessus (vous allez croire qu’on radote !), mais ce qu’il faut retenir ; c’est : ça marche !
 
Je les trouve un peu réducteur, moi, les journalistes des échos. Et si nous n’étions pas manipulés ? S’il y avait une autre raison au succès du streetwear ? Moi je sais, et pas besoin de se creuser les méninges à comparer les marges commerciales brutes de l’activité pour améliorer la rentabilité : le streetwear, c’est beau, c’est chic, et c’est pratique. Un conseil : on se jette sur le modèle adidas original vendu chez sarenza (en photo en haut) : j’adore !

 

SOLDES : Mine de rien, c’est une grande !

minederien.pngSOLDES : Je ne comprends même pas pourquoi je ne vous en ai pas parlé avant !

Bon, moment nostalgie : il y a environ 3 ans, j’ai découvert une marque adorable.
Je me souviens, on était à la fin de l’hiver, les soldes se terminaient, et la nouvelle collection commençaient à envahir doucement les stands des Galeries Lafayette. J’adore ce moment-là, quand on découvre nos futurs achats, pas vous ? (bon, c’est vrai, je suis totalement manipulée par la direction marketing des grands magasins… mais que voulez-vous, je suis une victime consentante !)
Donc je disais : je flânais entre les rayons, enivrée par le parfum de la nouveauté (ok, j’arrête !) quand mes yeux se posent sur la chaussure absolue : des sandales compensées en cuir noir, avec un dessus façon croco et une plateforme façon paille (mais toujours en noir), avec surimpression de motifs en cuir. Difficile à expliquer, mais croyez moi sur parole : élégant, mais aussi très estival. Mélange parfait, coup de foudre immédiat ! Et surtout, un succès fou : dès que l’été pointe son nez, je les enfile, et elles font toujours leur effet. 
Depuis, de nombreux coups de cœur, (et de trop nombreux achats…) se sont succédés : des bonnes noire à talons (magnifiques, on m’arrête encore dans la rue pour me demander où je les ai achetées !), des cavalières, des escarpins, encore des compensées mais cette fois en bois, et dernièrement des low-boots en daims gris clair. Uncarton à chaque fois !
Les prix, qui oscillent entre 150 et 195 euros, sont mérités, compte tenu de la qualité. Mais un peu d’aide ne peut pas nous faire de mal, pas vrai? C’est ce que nous propose le Bazar Parisien en ce moment : les soldes ont commencé sur le site, et les escarpins en photos sont délestés de 30%… Je vous conseille vraiment d’en profiter ! Les chaussures sont jolies, un peu rétro pour cette saison, avec de belles matières et durent longtemps : un vrai bon investissement !

 

Chaussure de luxe : Chaussures et politique

imelda.jpgChaussure de luxe : Les dictateurs laissent une marque douloureuse dans l’histoire d’un pays. Des déchireuses profondes dans l’esprit de la population. Une trace indélébile.

Et leur femmes, qu’est-ce qu’elles laissent derrière elles ? Leurs chaussures bien sûr !
Et c’est bénéfique pour le pays, la preuve aux Philippines, où les chaussures d’Imelda Marcos, femme de l’ex dictateur Ferdinand Marcos, sont actuellement exposées au Shoe Museum de Marikina.
En 1986, le couple a été forcé à l’exil et leurs possessions mises sous séquestre au palais présidentiel. C’est là que le « trésor » a été découvert. Parmi les pierres précieuses et l’or (détournés…), un remake des Galeries Lafayette, en plus luxueux bien sûr. Selon le Guinness, Imelda possède plus de 3000 paires de chaussures. Et pas n’importe lesquelles ! Imelda a des goûts de luxe, pour notre plus grand plaisir. Cette découverte avait, à l’époque, scandalisé le monde entier, mais pas les Philippins. Chez eux, Imelda Marcos était une sorte de Jackie Kennedy, dont la situation (First Lady) et la beauté légitimaient la possession de produits luxueux et raffinés.
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D’accord ou pas, la collection est une merveille ! Plus de 620 paires d’escarpins, de mules ou encore de ballerines vernis, en cuir, python, croco, incrustées de pierres, de cristaux, brodées ou encore perlée, témoins d’une époque où l’élégance était un art de vivre. Ferragamo côtoie Chanel et Givenchy et nous entraine dans un tourbillon de délicieuse jalousie.
Dolly Borlongan, la curatrice du musée, considère cette collection comme «un trésor national qui fait partie de notre histoire». Elle envisage d’agrandir l’établissement afin d’affirmer la place de Marikina en tant que capitale de la chaussure, et de lui assurer une place de choix dans les circuits touristiques de Manille.

Blog : Sarenza vs Spartoo

Blog : et le gagnant est…

fight_1.jpgVous êtes vous jamais demandé qui de Sarenza ou de Spartoo était le plus recherché sur le net ? Google nous donne la réponse grâce à son trend lab. Le trend lab Google, c’est magique : vous pouvez y comparer tous ce qui vous passe par la tête, et en plus, Google vous décompose les résultats par région, villes, langues…

En l’occurrence, moi, ce qui m’intéresse, c’est Spartoo et Sarenza, les deux sites concurrents pour la vente de chaussure en ligne. Alors, qu’est-ce qu’on apprend ?
Tout d’abord, le gagnant est, sans trop de surprise, Sarenza. Il faut dire que le site a été lancé fin 2005, un an avant son concurrent, et qu’il est plus connu. Toutefois, Spartoo n’est pas si loin derrière, et monte rapidement.
Ensuite, les deux courbes ne cessent de grimper depuis 2004, reflétant la tendance lourde de ces derniers temps : l’augmentation des ventes par internet. Acheter par correspondance plaît à tout le monde et partout apparemment, mais plus spécifiquement en province : Marseille, Annecy et Amiens sont les villes où le volume de recherche est le plus important. Ce qui confirme les propos du directeur de Sarenza : selon lui, la clientèle principale de son site est provinciale.
Enfin, mon info préférée : les recherches augmentent tous les ans, juste avant les soldes. J’adore ! C’est dans ces moments-là que je me dis que mon travail de repérage sert vraiment, et c’est hyper gratifiant !

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SOLDES : Spartoo et ses prix doux

clinyspartoo.jpgSoldes : Aujourd’hui, je vous parle de Spartoo : pas besoin de présenter le site, vous le connaissez déjà je pense !

En ce moment, Spartoo nous propose des promotions sur certaines paires de chaussures. Personnellement, je trouve qu’ils auraient pu faire un peu plus d’effort : les chaussures proposées ne sont vraiment pas les plus belles. Mais en cherchant (et quand on veut vraiment acheter), on trouve, et j’ai trouvé une paire plutôt sympathique d’escarpins Mellow Yellow, en cuir noir, très rock, et qui seraient parfaites avec un slim brut. Et puis surtout, elles sont soldées, ce qui est un réel avantage !

Bon, pour le reste, ce n’est vraiment pas super, entre des Vans à tête de mort (OUT !) et des bottes écossaises (jamais tendance…) Mais je devrais éviter de me plaindre : après tout, ce sont des soldes, et les soldes, c’est sacré !

 

Chaussure de luxe : La nouvelle campagne Vuitton printemps-été 2008 ou les bonnes résolutions de 2008

Chaussure de luxe:  Aujourd’hui, je me suis demandée comment faire pour entrer dignement dans la nouvelle année. 
Autour du 31 décembre-1er janvier, je fais toujours un bilan de l’année passée, et résultat : je veux toujours faire mieux. Mieux que l’année dernière, mieux que les autres filles autour. Etre plus belle, mieux habillée. Moi, ma bonne résolution, c’est typiquement ça : entrer dignement dans la nouvelle année. Dignement, c’est-à-dire la tête haute, fière, en tant que femme sûre d’elle, belle, mais surtout pas arrogante.  Je suis d’accord, ça fait beaucoup tout ça. Et surtout, c’est bien joli tous ces mots, mais à quoi correspondent-ils  concrètement ?
 
Bizarrement, j’ai trouvé ma solution en cherchant des idées d’articles sur internet : la campagne Louis Vuitton printemps-été 2008. Je suis totalement sous le charme, et j’y ai trouvé de vrais modèles pour ma bonne résolution.
Cette année, Marc Jacobs a choisi comme égéries, entre autres, Jane Seymour, Naomi Campbell et Claudia Schiffer. De vraies femmes somme toute (moyenne d’âge au-dessus de quatorze ans, un exploit), mais surtout de vraies personnalités : ça nous change de tous ces visages désincarnés qu’on a l’habitude de voir ! La campagne est en forme de road-movie glamour, sous le soleil hollywoodien. Les chaussures, aux couleurs ensoleillées, gardent tout leur sex-appeal. Incroyable pour moi qui ne jure que par le chic d’un très classique escarpin noir! Le résultat est parfait et original, un mélange entre l’élégance d’une soirée et la chaleur d’un jour d’été.  Et moi, c’est à ça que je veux ressembler pour la nouvelle année.
Pour le plaisir, je vous mets la vidéo du making-of, shooté par Zoe Cassavetes (fille de), et donc forcément culte.