Etant donné qu’on claque aujourd’hui 50 euros pour une paquet de pâtes et un kilo de pommes de terre, il est normal que l’on soit assez « proche de ses sous ». Ca fait assez Oncle Picsou (pour celles qui se souviendraient du Journal de Mickey…) mais vu la hausse spectaculaire des prix ces derniers temps, on y peut pas grand chose. Or, avec 50 euros, difficile de trouver une paire de chaussures de qualité (ça, c’est de la transition…).
Acebo’s, un jeux de mots douteux pour une marque de qualité
Acebo’s, c’est le dernier coup de coeur de Sarenza. Elu « produit star de la saison » par leurs stylistes, ça en jette quand même pas mal. Pour ma part, j’avoue avoir eu quelques réticences. Des talons qui n’affichent pas plus de un centimètre au compteur, ça n’est pas très sérieux… Cela dit, il faut reconnaître à Acebo’s une qualité incontestable et des prix plus que raisonnables, ce qui n’est pas négligeable (Baudelaire, si tu m’entends d’outre tombe…).




Des petits créateurs (dans ce cas, on dit « créateur confidentiel » ou « créateur qui monte »), des styles glam, punchy et acidulés, une sélection très bien faite. Pour des femmes modernes qui ont les pieds sur terre (peu de talons aiguille, beaucoup de talons carrés).
Une classe absolue pour ces messieurs
La plus grande énormité que la mode n’ait jamais connu…
Je n’avais jusque là pas pousser la porte de l’espace luxe de
Le temps des escarpins et autres sandales ayant définitivement sonné

