C’est la deuxième année que Max Azria collabore avec Tex femmes (Carrefour), pour notre plus grand bonheur. La collection 2008/2009 voit cette année entrer dans ses rangs de multiples chaussures femmes, tels que des Richelieu, des ballerines, des escarpins et bien d’autres. Petit tour d’horizon des chaussures femmes Max Azria.
Un styliste aux multiples facettes
Né à Paris, Max Azria crée la ligne BCBG dans les années 1980 alors qu’il a émigré en Californie, ligne avec laquelle il connaît une véritable popularité à partir de 1989. Il cherche alors à offrir aux américaines la sophistication française, pari qu’il réussit aisément et qu’il poursuit avec les lignes The Max Azria Collection, BCBGirls, BCBG//Attitude, To the Max et Parallel. Après avoir ouvert de multiples boutiques aux Etats-Unis, il conquiert l’Angleterre, la Belgique, l’Italie, la Suisse et bien sûr, la France.
Quant Tex rencontre Max Azria
Comme Lagerfeld avec H&M, Max Azria s’est associé à Tex femmes de Carrefour en 2007. Etant donné le succès incontestable de cette précédente collection, les deux associés ont ainsi décidé de rempiler pour une année, en intégrant à cette ligne 2008/2009 de nombreux modèles de chaussures femmes aux couleurs tendances, aux effets de matières travaillés et au design élégant, sans oublier pour autant la qualité qui fait toute la chaussure femme Max Azria. On ne demande qu’une seule chose : que cela continue.
Vidéo du défilé 2007
Petite précision essentielle avant de commencer : j’ai choisi ces escarpins Jean Paul Gaultier mais le Beau n’est pas universel. Quoi que puissent dire les plus grands théoriciens d’histoire de l’art. Il s’agit tout simplement d’un exemple visant à démontrer qu’il est possible de contrôler un achat impulsif. Enfin bon, ce n’est qu’une théorie.
Je suppose que nous tomberons toutes d’accord sur le fait que les frais de port sont l’une des plus grandes erreurs de l’humanité. Deux raisons à cela : ils nous rappellent notre statut de paresseuse incorrigible pas capable d’affronter deux stations de métro pour les économiser, et surtout, même s’ils n’équivalent qu’à un dixième du prix des chaussures que l’on vient de s’offrir (ce qui est déjà pas mal), on ne peut s’empêcher de les convertir en paquets de clopes ou tablettes de chocolat (chacune sa drogue). Petite astuce pour éviter la culpabilité.
En effet, comme nous le propose si bien
Quelle est la différence entre un disciple et une simple copie ? Très mince. Cette dernière n’est qu’une reproduction exacte du modèle d’origine alors que le disciple suit la doctrine d’un maître en y apportant toutefois sa propre expérience et donc l’évolution qui en découle. Toujours pas clair ? Rien de mieux qu’un exemple, ici celui de Cult et de Converse.
Pour ma part, je suis complètement addict aux jeux, quels qu’ils soient. J’entends déjà certaines clamer le « retour inconscient à l’enfance » mais il n’en est rien. Jamais joué à quoi que ce soit durant mes dix premières années. Quoiqu’il en soit, en tant que véritable joueuse, je ne pouvais faire l’impasse sur la dernière trouvaille de
Il est vrai que le nom n’est, de prime abord, pas véritablement engageant. Souvent liés aux paysans et plus particulièrement aux Néerlandais, les sabots ne sauraient être une arme de séduction massive. Et pourtant…
Plus qu’une marque, Doc Martens est une véritable institution en matière de chaussures. Acheter une paire de Doc, c’est un peu comme voter PS : on ne sait pas vraiment pourquoi on le fait mais on se doit de le faire. Petit rappel du pourquoi du comment.
Etant donné qu’on claque aujourd’hui 50 euros pour une paquet de pâtes et un kilo de pommes de terre, il est normal que l’on soit assez « proche de ses sous ». Ca fait assez Oncle Picsou (pour celles qui se souviendraient du Journal de Mickey…) mais vu la hausse spectaculaire des prix ces derniers temps, on y peut pas grand chose. Or, avec 50 euros, difficile de trouver une paire de chaussures de qualité (ça, c’est de la transition…).